Etiquette | Contenu de champ |
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Auteur(s) du projet | Maurice L'Herbier, architecte ![]() |
Autre(s) protagoniste(s) | Albert Laprade (1883-1978), architecte : auteur du projet d'origine (d'après source citée en commentaire). ![]() |
Protagoniste(s) | André Leconte (1894-1966), architecte, enseignant : détenteur des documents ![]() |
Localisation | |
Etat | réalisé et détruit. |
Type de commanditaire | public, semi-public |
Contextes d'intervention | Commande ou inconnu |
Domaines / sous-domaines | |
Natures d'intervention | ARCHITECTURE-INGENIERIE |
Datation de l'objet | 1930 = début approximatif de l'étude de L'Herbier (cf. historique en commentaire). • 1934 = inauguration (cf. historique en commentaire). |
Commentaire | AUTRE SOURCE Internet, lesiteinfo.com, consulté le 28 juillet 2017: http://www.lesiteinfo.com/cultures/etait-piscine-municipale-de-casablanca/ => Extrait : "En 1928, un architecte, Albert Laprade, présente son projet de la piscine municipale aux travaux publics de Casablanca. Il consiste à construire un grand complexe sur le littoral comprenant aussi un champ de courses, une mairie, une école et une église. Mais ce projet n’est pas retenu. Cela n’empêche pas l’architecte Maurice L’Herbier de le reprendre. En 1931, ce projet commence à prendre forme et la construction dure trois longues années. Le 14 juillet 1934, le centre balnéaire, autrement dit la piscine municipale, est officiellement inauguré. Le site est baptisé Georges Orthlieb, du nom d’un contrôleur civil, chef de région et président de la commission municipale de Casablanca. Sur 5,7 hectares, le premier bassin mesure 480 mètres de long et 75 de large. Il est entouré d’une aire de repos de 3,6 hectares ; le deuxième, bassin Georges Louis, est destiné aux compétitions de natation et de waterpolo ; le troisième, populaire, est destiné aux associations, aux écoles et aux militaires. Cette piscine municipale est restée bien longtemps la fierté des Casablancais. Son histoire a malheureusement pris fin, quelques années plus tard, après l’indépendance du Maroc. Le site est tombé dans l’oubli et a été complètement délaissé par les habitants de la ville blanche. Maintenant, il n’est qu’un souvenir d’enfance lointain d’une génération qui a connu la splendeur architecturale de Casablanca. Dans les années 80, sur l’emplacement de cette merveille de jadis a été construite une autre merveille du présent : la majestueuse mosquée Hassan II, troisième plus grande mosquée du monde." |