Etiquette | Contenu de champ |
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Auteur(s) du projet | Albert Michaut, architecte ![]() ![]() |
Commanditaire(s) | Office public départemental d'habitations à loyer modéré (OPDHLM) de Seine-et-Oise ![]() ![]() |
BET/ingénieur(s) | Ch. Dars, ingénieur ![]() ![]() |
Autre(s) protagoniste(s) | Antoine Ispenian, architecte : désigné en qualité d'expert sur le litige en fin de chantier ![]() |
Entreprise(s) | Société de construction et génie civil (SCGC) ![]() |
Localisation | |
Programme | 190 logements HLM répartis en cinq bâtiments. Le projet est d'abord présenté au concours "conception-construction" organisé par le ministère de le Reconstrution et du Logement pour la construction de 200 logements économiques normalisés (LEN) dans l'ancien département de Seine-et-Oise. |
Etat | réalisé. |
Code(s) affaire(s) d'origine | 140 |
Type de commanditaire | public, semi-public |
Contextes d'intervention | Commande ou inconnu |
Domaines / sous-domaines | |
Natures d'intervention | ARCHITECTURE-INGENIERIE • URBANISME |
Datation de l'objet | 1955 = projet présenté au concours. • 1962 = réception définitive. |
Commentaire | "le principe fondamental qui a guidé les Architectes présentant ce projet de concours, a été, en fonction des données techniques et économiques du problème, de trouver un système qui permette, partant d'une cellule type de 1 pièce (entrée, séjour, cuisine, toilette et WC) de trouver dans les cellules de base plus grandes, cet élément structural et organique essentiel. […] Ainsi les logements de 2, 3, 4 et 5 pièces ne sont qu'un gonflement du volume du logement, par l'adjonction de chambres supplémentaires autour du noyau de base. […] Cette cellule de base se retrouve donc identique à elle-même dans tous les logements, quels qu'en soient leur grandeur et leur nombre." (note de présentation du projet, non datée) Quelques mois après la fin du chantier et l'entrée des locataires dans les logements, se déclarent des désordres graves et des problèmes d'étanchéité et d'humidité entraînant l'insalubrité des logements. Le tribunal de Versailles, par jugement du 23 juillet 1969, déclare Lurçat et Michaut responsables des désordres conjointement avec l'entreprise générale. |